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14/01/2024

Calendrier des spectacles

 L'Evangile selon Saint Jean

Evangile_Jean_180.jpgUn spectacle qui a enthousiasmé et ému depuis sa création en 1994 plus de 6000 spectateurs croyants et non-croyants en France, Suisse et Belgique.
Mise en scène de Pierre Lefebvre
avec Gérard Rouzier
Durée : 1h20

  • PARIS 6e : les mardis 23 et 30 janvier 2024 à 12h30
    Toutes les représentations suivantes sont annulées.
    Temple du Luxembourg, 58 rue Madame
    Participation libre aux frais
    Tel: 01 45 48 13 50 / contact@epupl.org

  • PARIS 4e :  les dimanches 7 avril, 12 mai, 2 juin 2024, de 17h30 à 19h00
    Cité des Consciences, 24 rue Chanoinesse
    Accueil 15 minutes avant.
    Participation libre aux frais
    Il est conseillé de réserver vos places auprès de la Compagnie du Sablier

  • SAINT-GERMAIN-EN-LAYE : dimanche 17 mars 2024 à 15h 16h
    Eglise de Saint Germain en Laye, 4 place Charles de Gaulle.
    Participation libre aux frais.

  • LOUVECIENNES (78) : dimanche 24 mars 2024 à 17h
    Eglise Saint Martin, 10 place de l’église.
    Participation libre aux frais

 

Bartleby, de Herman Melville

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"Je préfèrerais pas..." dit un jour l’employé modèle. Et du jour au lendemain, toute la machine qui s’enraye, comme si un petit grain de sable en grippait les rouages. 
Un texte bouleversant sur l’altérité, la différence, le refus, l’acceptation, l’incompréhension, la compassion.

 

avec Gérard Rouzier et Pierre Imbert.
Mise en scène de Pierre Imbert.
Coproduction avec la Compagnie de l’Indien
Durée : 1h10

 

8e année ► Charles de Foucauld, frère universel

Charles_de_F_ 2023-02_270 .jpgLa vie de Charles de Foucauld, son cheminement spirituel depuis sa jeunesse débauchée jusqu’à son dépouillement absolu et son abandon total à Dieu.

Mise en scène et musique : Francesco Agnello, avec Gérard Rouzier.
Production Aircac. Renseignements et réservations : 06 64 64 01 51.
Durée : 1h

  • PARIS 8e : tous les mercredis jusqu'au 26 juin 2024 à 12h30
    (Pas de représentation le 20 mars)
    Église Saint-Augustin, Crypte des Catéchistes, 1 avenue César Caire, métro Saint Augustin. 
    Participation libre aux frais

 

Akedia. Le diable au désert

2500830274.jpgL’acédie, état dépressif, maladie de l’âme… 
Le diable tente de plonger un ermite dans le désespoir en lui  démontrant qu’il a choisi une voie illusoire, qu’il s’est trompé, qu’il a donné sa vie pour une chimère… 

Texte d’Adrien Candiard, mise en scène et musique de Francesco Agnello.
Avec en alternance Théophile Choquet, Laurent Cazanave, Jules Meary et Gérard Rouzier (comédiens), et Francesco Agnello (musicien). 
Production Aircac - Renseignements et réservations : 06 64 64 01 51
Durée : 1h20

  • PARIS : tous les lundis  jusqu’au 24 juin 2024, à 12h30 et à 20h
    Chapelle Notre-Dame des Anges, 102 rue de Vaugirard. Métro Saint-Placide Participation libre aux frais.

10:13 Publié dans Spectacles | Lien permanent

12/04/2023

« Akedia », une conversation avec le diable

Akedia La Croix.jpg

Akedia, écrit par le dominicain Adrien Candiard, est joué à Paris jusqu’à l’été. La pièce raconte la confrontation entre un moine ermite et le diable. La mise en scène réussie de Francesco Agnello renvoie le spectateur à ses propres questions. 

Le jeune homme aux cheveux ondulés remonte les manches de son épaisse chemise et s’agenouille devant l’homme, en burnous et à la barbe blanche, qui tresse silencieusement un panier d’osier. Il le supplie de le prendre comme disciple pour lui enseigner l’ascèse, le silence et la joie d’être tout à Dieu. « Je t’ai reconnu dès ton arrivée », lâche le moine. « Je ne suis qu’un pauvre diable », raille son cadet.

C’est ainsi que débute Akedia (1) la pièce écrite par le dominicain Adrien Candiard, mise en scène par Francesco Agnello. Roublard et grinçant, Jules Meary, qui incarne le diable, déploie avec emphase ses arguments retors pour faire trébucher le moine interprété tout en retenue par Gérard Rouzier. Le dialogue, en forme de pugilat spirituel, ébranle les choix de l’ermite (sa vocation, l’ascèse), ses attachements (à un ancien disciple, à sa mère), sa relation à Dieu, dépeint, par le démon, comme un dieu « indifférent » et « trompeur ».

Interrogation sur l’image de Dieu

Le dialogue est porté par la sobriété du décor : les personnages évoluent à la lisière du chœur de la chapelle Notre-Dame-des-Anges, devant un rideau de tulle blanc. La scène est baignée par la complainte des instruments métalliques, un handpan et un waterphone, que Francesco Agnello joue avec la paume des mains, avec des baguettes ou un archet.

« Le diable est très tentant, relève Véronique, la cinquantaine, venue avec des collègues de travail. Ce spectacle résonne tellement dans le contexte actuel, avec mon interrogation sur nos images de Dieu et notre lien à l’Église. »

« J’ai mis du temps à repérer le personnage du diable, raconte Joseph, 22 ans, sac au dos, qui revient d’un week-end de randonnée. La pièce soulève des questions que je me pose à propos de l’engagement, personnel et professionnel, de la foi et de la quête de Dieu. L’important, c’est de persévérer dans mes choix, sans craindre d’affronter les tentations. »

Gilles Donada, La Croix (19/02/2023)

Lire aussi l'article d'Anne-Françoise de Taillandier dans La Vie (16/03/2023) :
« Akedia », face au diable

09/05/2017

Mon Luther : premiers échos

Mon_Luther Gerard_Rouzier.jpgChoses entendues ou lues sur le Livre d’Or après les premières représentations de notre nouveau spectacle, Mon Luther :

          • On parlait de la prière l’autre jour avec mon mari. Pendant tout le spectacle je lui ai donné des coups de coude, j’entendais exactement ce que j’aurais voulu dire…
          • Je reviendrai, j’ai besoin de réécouter…
          • Je suis de confession musulmane, et j’ai été agréablement surpris de découvrir qu’il y avait tant d’enseignements et de conseils qu’on pouvait appliquer à ma religion…
  • En tant que catholique, je me suis senti très bien pendant tout le spectacle ! Je peux adhérer sans problème à ce que j’ai entendu….
  • …Ça fait du bien…
  • …Et Isabelle ! Quelle voix ! (Entendu quelques dizaines de fois, le père que je suis écoute d’un air flegmatique et blasé) 
  • La harpe nous fait du bien, cela nous offre un temps de douceur et de beauté

Les premiers échos de Mon Luther sont donc encourageants, et parfois réjouissants, même si, comme nous l’avions prévu, il fallait des critiques autant que des commentaires bienveillants pour nous aider à améliorer le spectacle. Comme je l’ai dit à quelques amis comptant parmi les premiers spectateurs : « Vous essuyez les plâtres ! »

Les critiques …

  • La bande-son passait très bien dans le temple de la Celle-Saint-Cloud, mais il nous faut une autre sono à Paris. 
  • La chaire à Paris est un peu loin des spectateurs, nous adaptons donc la mise en scène au lieu …

Mon_Luther Isabelle_Rouzier.jpgCes réactions sont d’autant plus précieuses pour nous qu’au-delà des représentations actuelles, cela nous amènera à prévoir différents cas de figures en fonction des différents lieux où nous jouerons. Merci donc à celles et ceux qui ont pris la peine de nous transmettre leurs commentaires.

Car il est vrai que Mon Luther est un « objet particulier », entre le « culte » et le « spectacle », entre la découverte ou redécouverte des paroles de Luther, et un témoignage plus intime, qui suppose une vraie relation de proximité avec le public.
Cela nous obligera donc sans aucun doute à adapter la « mise en espace » à chaque lieu qui nous accueillera, bien davantage que dans nos autres spectacles. Car dans Mon Luther, la situation se déroule dans un Temple. Il faut donc particulièrement inclure les éléments du lieu au spectacle. Et ça, c’est très « excitant ». Une forme d’improvisation (très relative) à chaque fois…

Nous voici donc embarqués dans cette nouvelle aventure, avec bonheur, et l’espoir de partager avec un public nombreux ces paroles de foi qui nourrissent, encouragent, éclairent… rappellent…

Bonne route à tous et toutes !

Gérard Rouzier

Lire aussi l'article de Réforme : Luther au théâtre

 

13:13 Publié dans Spectacles | Lien permanent | Commentaires (0)

02/05/2017

Première de Mon Luther le 2 mai à Paris

Un homme qui prépare une conférence sur Luther raconte à sa psychanalyste un rêve qu'il a fait : il était Luther, et disait des sermons, des pensées sur la Bible, la foi, les œuvres… Des paroles étonnamment actuelles.
avec Gérard Rouzier et Sandrine Pourailly (harpiste)

Gérard Rouzier parle de Luther et du spectacle qu'il a monté à l'occasion des 500 ans de la Réforme :

05/04/2017

Charles de Foucauld, frère universel

Pour fêter le 100e anniversaire de la mort du Bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916), la paroisse Saint-Augustin à Paris a eu l’excellente idée de demander à un très grand comédien de jouer le rôle de celui qui est pour la postérité le « frère universel ». Gérard Rouzier interprète magnifiquement Charles de Foucauld. Un rôle sur mesure pour ce comédien habitué à endosser des rôles importants, tel Jésus dans L’Évangile selon Saint Jean ».

Durant une heure, le public assiste au déroulé de la vie de Charles de Foucauld, avant et après sa conversion, avec quelques personnages clés tels l’abbé Huvelin qui le confessa dans cette grande et belle église Saint-Augustin. La pièce est jouée à l’endroit même où l’abbé donna ses conférences.

Le public est conquis par la maestria avec laquelle Gérard Rouzier, avec une ressemblance physique frappante, parvient à être le prêtre ermite de Tamanrasset.

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Francesco Agnello et Gérard Rouzier

L’accompagnement musical du hang – instrument suisse – rappelle par sa mélodieuse tonalité, l’ambiance du Sahara qui accueillit des années durant l’apôtre de la paix béatifié en 2005 par Benoît XVI.

Francesco Agnello signe un très beau texte qui vient résonner en nous de toute sa profondeur. Après avoir redécouvert la vie du frère universel, on comprend la fécondité spirituelle de l’œuvre de Charles de Foucauld, qui a donné naissance à une vingtaine de congrégations religieuses et d’associations de vie spirituelle à travers le monde. Charles de Foucauld a en outre écrit des ouvrages de référence sur la culture Touareg. On est plus qu’ému des conditions dramatiques qui ont conduit à la disparition de cet homme bon, un homme véritablement uni à Dieu.

William Hitchon
Église en Val d’Oise, mensuel du diocèse de Pontoise, avril 2017

Calendrier des spectacles

09:04 Publié dans Spectacles | Lien permanent | Commentaires (0)